Stratégie de traitement adaptée en fonction de la maladie résiduelle : traitement de patients de moins de 66 ans, atteints de myélome multiple, nouvellement diagnostiques et éligibles à une autogreffe

Stratégie de traitement adaptée en fonction de la maladie résiduelle : traitement de patients de moins de 66 ans, atteints de myélome multiple, nouvellement diagnostiques et éligibles à une autogreffe

L’AFLD s’inscrit depuis quelques années dans une importante dynamique de transformation et se développe, dans tous les domaines de son activité, notamment dans la perspective de l’accueil à Paris des Jeux olympiques et paralympiques en 2024. Malgré la pandémie, l’année 2020 a aussi marqué une étape décisive dans la transformation de l’AFLD pour se doter d’un arsenal plus adapté à la défense du sport propre. Le référé de la Cour des comptes publié le 16 juin dernier sur la politique antidopage conduite par l’Agence et les autres acteurs évoque des sujets autrement plus intéressants. L’Agence n’esquivera jamais le débat lorsqu’il s’agit de parler des questions de fond et se tient à la disposition de tous les acteurs de la lutte antidopage pour améliorer encore davantage la défense du sport propre.

La logique territoriale, toujours pertinente pour le recueil de renseignement et la connaissance du terrain, cède en revanche la place, en matière de contrôle, à un suivi par sport et population sportive, en fonction de leur risque de dopage, et non plus en fonction de leur implantation géographique. Huit agents du ministère des sports, parmi ceux antérieurement en fonction, ont choisi d’apporter à l’Agence leur expérience et leurs compétences. Mis à disposition par l’État dans le cadre d’une convention, ils mettent ainsi en œuvre, sous l’autorité de l’Agence, le plan de contrôles 2019.

Le Dr Marie-Claude Potier intègre le collège de l’Agence

Paris, le 25 janvier 2019 – L’Agence française de lutte contre le dopage lance son Comité des sportifs, nouvel organe consultatif visant à améliorer la prise en compte du regard et de la parole des sportifs français dans la politique antidopage. Le programme de contrôle des sportifs français établis à la fin de l’année 2018 pour 2019 se déroule normalement, selon un plan de répartition par niveau et par discipline conforme aux prescriptions de l’Agence mondiale antidopage (AMA). Prise sur le fondement du 2° de l’article 25 de la loi du 26 mars 2018 relative à l’organisation des jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, cette ordonnance modifie la procédure disciplinaire en matière de lutte antidopage et, plus largement, contribue à harmoniser la lutte contre le dopage dans le sport. Paris, le 11 mars 2019 – L’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) diffuse la déclaration commune suivante des dirigeants d’organisations antidopage nationales, en prévision de l’imminente élection présidentielle à l’Agence mondiale antidopage (AMA).

  • Rendez-vous dans notre espace Acteurs scientifiques pour connaître les champs de travail proposés et le calendrier des sélections.
  • Si vous souhaitez vous associer à l’AFLD dans la mise en œuvre d’actions de sensibilisation, vous trouverez des informations complémentaires sur notre page Actions de sensibilisation.
  • Cette ordonnance sera complétée dans un bref délai par des textes règlementaires d’application et des délibérations de l’Agence qui viendront la préciser.
  • Les capsules doivent être avalées sans être croquées avec, si besoin, de l’eau ou une autre boisson.
  • Composée uniquement d’expert(e)s internationaux, cette équipe est chargée de formuler des recommandations quotidiennes aux organisateurs et de publier un rapport final pour renforcer la qualité des activités antidopage des futures manifestations, en vue notamment des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.

Les responsables antidopage ont également appelé l’AMA à demander une enquête approfondie, transparente et indépendante concernant les allégations troublantes d’intimidation. L’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) a reçu le 19 novembre 2018 des magistrats magazine-culturistes des Parquets des pôles de santé publique des Tribunaux de Grande Instance de Paris et de Marseille, accompagnés de leurs assistants spécialisés. Ils ont été accueillis par la Présidente de l’Agence Dominique Laurent et le secrétaire général Mathieu Teoran.

L’AFLD donne un coup d’accélérateur à la recherche

Astrid poursuivra son engagement dans la prévention du dopage puisqu’elle a été nommée au Comité des sportifs de l’Agence mondiale antidopage pour 2022. La matinée de conférence a permis d’aborder la place et le rôle des fédérations en matière d’antidopage et les responsabilités particulières des cadres sportifs, entraineurs, cadres techniques et personnels médicaux et paramédicaux, dans l’information des sportifs et pratiquants d’activités physiques de tous niveaux. Le 21e colloque national « Pour un sport sans dopage », organisé conjointement par le ministère chargé des Sports, le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF), le Comité paralympique et sportif français (CPSF) et l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), s’est déroulé hier au siège du CNOSF, à Paris.

Enfin, l’échange d’informations entre la CADF, l’AFLD et l’OCLAEPS (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) sera maintenu cette année. Toute information additionnelle sera utilisée par la CADF pour définir la stratégie de contrôle quotidienne. Il a pour objet la réforme de l’organisation interne de l’AFLD et de la procédure disciplinaire mise en œuvre par celle-ci.

Organisé en étroite collaboration avec le Comité national olympique et sportif français (CNOSF), cet évènement a permis de sensibiliser les référents antidopage désignés par leurs fédérations à leurs missions et leur rôle en matière d’antidopage. Cette désignation est une obligation légale, résultant de la dernière transposition du Code mondial antidopage 2021, en vue de coordonner l’action interne des fédérations en ce domaine. L’édition 2022 du colloque a permis à l’ensemble de la communauté antidopage de se réunir à nouveau physiquement, pour faire avancer la lutte et renforcer les collaborations sur l’ensemble du territoire national au profit d’un sport propre sans dopage.

Cette mesure fait suite au signalement par le laboratoire de Châtenay-Malabry lui-même de dysfonctionnements ponctuels intervenus dans des circonstances exceptionnelles au cours du processus d’analyse. Sont ainsi reconnues à la fois la qualité, la bonne foi et l’indépendance du laboratoire de Châtenay-Malabry. L’AFLD poursuivra ses efforts en matière d’investissement et de recherche, notamment par la mise en place de partenariats, afin répondre aux défis à venir, en particulier les Jeux olympiques de 2024. Lors d’un audit réalisé sur place les 4 et 5 décembre 2017, l’AMA a constaté que les actions correctives mises en place par le laboratoire dès la première semaine de septembre étaient de nature à empêcher toute nouvelle survenue de l’incident signalé le 28 août dernier.

Réflexions sur les activités du Collège de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) en 2016

Par précaution, la FDA a cependant demandé aux fabricants d’inclure un avertissement sur le risque de TEV pour les produits contenant de la T. Cependant, les études cas-témoins et pharmaco-épidémiologiques n’ont pas montré d’augmentation du risque thromboembolique veineux (TEV) sous traitement [68, 69]. La TL diffuse dans les cellules cibles, et la fraction liée à l’albumine se libère facilement pour diffuser dans les cellules cibles. Ainsi la TL et la TBD sont les fractions circulantes les plus représentatives de la T qui va agir sur les cellules cibles.

Message aux sportifs au sujet de la divulgation publique de leurs données de santé

Le COS est présidé par Yves Le Bouc, responsable du Centre de référence des maladies endocrinienne, de la croissance et du développement à l’hôpital Armand-Trousseau. L’Agence mène un programme de recherche ambitieux sur des thématiques élargies autour du dopage, indépendamment du transfert du laboratoire antidopage à l’université Paris-Saclay le 1er janvier dernier. Institué lors de la création de l’Agence en 2006, le Comité d’orientation scientifique (COS) l’assiste dans sa stratégie de soutien de la recherche antidopage, notamment à travers le financement de travaux scientifiques. En compétition, les contrôles diligentés par l’AFLD sont réalisés par des vétérinaires préleveurs formés et agréés par l’Agence.